« Surtout, je lisais tous les jours dans Le Matin, le feuilleton de Michel Zévaco : cet auteur de génie, sous l’influence de Hugo, avait inventé le roman de cape et d’épée républicain. Ses héros représentaient le peuple ; ils faisaient et défaisaient les empires, prédisaient dès le XIVe siècle la Révolution française, protégeaient par bonté d’âme des rois enfants ou des rois fous contre leurs ministres, souffletaient les rois méchants.
Le plus grand de tous, Pardaillan, c’était mon maître : cent fois, pour l'imiter, superbement campé sur mes jambes de coq, j’ai giflé Henri III et Louis XIII. »
Jean-Paul Sartre (Les mots)
Le Paul de "Tombe, Victor !" eût été bien surpris d'apprendre qu'il partageait avec le grand philosophe, qu'il aurait bien le temps de lire, les mêmes émois littéraires de jeunesse.
Le plus grand de tous, Pardaillan, c’était mon maître : cent fois, pour l'imiter, superbement campé sur mes jambes de coq, j’ai giflé Henri III et Louis XIII. »
Jean-Paul Sartre (Les mots)
Le Paul de "Tombe, Victor !" eût été bien surpris d'apprendre qu'il partageait avec le grand philosophe, qu'il aurait bien le temps de lire, les mêmes émois littéraires de jeunesse.
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Guillaume Canet à ses débuts, dans "Pardaillan", téléfilm d'Edouard Niermans (1997) |