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Ah, la lecture !
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Éloge du boudin blanc
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Photo Silvano et boudin d'artisan |
Il faut dénicher le meilleur artisan-charcutier, celui qui est bardé de diplômes du "meilleur boudin blanc de France".
Ils sont nombreux, car il doit y avoir autant d'organismes habilités à délivrer la précieuse récompense qu'il y a de cantons en France.
On s'y perd, donc, et il faudra faire confiance à la bonne mine du boudin, à son parfum, et ne pas acheter le boudin en barquette plastifiée vendu en surfaces commerciales.
Pour faire simple, car la composition en varie selon les régions, le boudin blanc est une farce de viande blanche (du veau ou de la volaille pour les meilleurs, du porc pour les autres) mélangée à de la farine (ou de la mie de pain), de la crème et diverses épices ; on peut y ajouter des éclats de morille ou de truffe : pour en faire monter le prix, sans doute, car, personnellement, je trouve que ça ne change pas grand chose.
En ce qui me concerne, après l'avoir délicatement piqué en divers endroits avec une épingle (jamais avec une fourchette !) je le poêle "à froid" : c'est à dire que je le pose sur un petit lit de beurre et le démarre ainsi à feu très doux.
Il est, paraît-il, des individus pour le manger cru (faussement cru, d'ailleurs, puisque il est "précuit"), ou cuit, après l'avoir dépiauté.
A chacun son plaisir.
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Tube (2)
Mercredi, je publiai cette photo en espérant que mes lecteurs musiciens reconnaitraient l’œuvre au vu de quelques mesures seulement.
Les commentaires m'ont permis de vérifier, si besoin était, que nous partageons bien le même amour du Beau.
Les plus futés auront découvert que la photo portait l'identification "Pathétique" !
Ce deuxième mouvement de la huitième Sonate de Ludwig Van Beethoven, dite Pathétique, que vous aviez au minimum présumé, est ici offert par l'impeccable Yundi Li :
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Détendu
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Proportions
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Article 3
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L'île
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1932 |
La revue Die Insel parut jusqu'à l'arrivée d'Hitler à la chancellerie, puis fut interdite, et réapparut après la guerre de 39-45.
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20 ans après |
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"Seule la terre" : à voir absolument
Avant qu'il ne quitte l'affiche, vous devez absolument voir le film de Francis Lee.
Âpre, violent et tendre à la fois, Seule la terre (God's Own Country) distance de très loin les quelques films à "thématique gay" sortis ces derniers mois : interprétation de premier ordre (des acteurs principaux au moindre second rôle), photographie magnifique et réalisation impeccable qui ne fait la moindre concession au pathos en embuscade, justifient les nombreux prix remportés par cette production qui honore le cinéma british.
Indispensable.
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Josh O'Connor et Alec Secareanu |
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Il reviendra...
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Avec vue sur la mer
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Article 2
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Lieu romain
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Silencieux
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Clair-obscur
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Œuvres
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Stade
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Stadio dei Marmi. Roma Photo: Jon Gasca |
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Philip
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Si tu m'attrapes...
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Coin tranquille
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Belle archive
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